jeudi 10 janvier 2008

Douceur

Premier essai avec l'énorme 600/4.5 Canon auquel j'ai réussi à greffer une monture Pentax. Depuis la fenêtre, j'assiste à un impressionnant rassemblement de moucherons qui vibrionnent en masse aux derniers rayons du soleil, et ces deux vers me reviennent en mémoire :


Aux précaires tiédeurs de la trompeuse automne,
Dans l'oblique rayon le moucheron foissonne


Alphonse de Lamartine, La vigne et la maison (II)

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